Cette valeur ne correspond pas à un épisode exceptionnel, mais bien à une augmentation régulière, sachant que les premières mesures remontent à 1958.


Figure 2 : évolution des concentrations de CO2 dans l’atmosphère à horizon 2100 (source GIEC[iii])
Ainsi, depuis de nombreuses années, nous savons que la qualité de l’air intérieur joue un rôle significatif sur nos performances cognitives[iv].
Selon une étude publiée par l’Université de New York[v], un taux de seulement 1000 ppm de CO₂ suffit à diminuer nos facultés décisionnelles de 11 % à 23 %.
Or, si nous atteignons 1 135 ppm d’ici 2100, l’air extérieur aura la même qualité que celui que nous jugeons aujourd’hui malsain à l’intérieur !
Il ne s’agit donc plus de respecter des règles environnementales pour le principe. La vigilance sur les émissions de GES est loin d’être anodine.
C’est en cela que le volet carbone de la RE2020 peut jouer un rôle. A compter du 1er janvier 2025, des seuils plus ambitieux s’imposent pour les bâtiments neufs, se situant dans une perspective de temps long.
Voyons concrètement ce qu’apportent les exigences carbone de la RE2020, et comment le déploiement de brasseurs d’air plafonniers (BAP) peut contribuer à rendre nos bâtiments plus sobres en la matière.
Sommaire article
- RE2020 et carbone : la montée en puissance
- IC Construction : l’enjeu de la conception
- IC Energie : réduire les impacts carbone en exploitation
- Effectuer les bons arbitrages dans le bâtiment
- Quelle valorisation pour le kg de carbone ?
- Les ventilateurs de plafond : un gisement à exploiter pour réduire le CO2 dans les bâtiments
RE2020 et carbone : la montée en puissance
A sa sortie en 2022, la RE2020 a volontairement limité son ambition carbone pour concentrer l’effort sur les sujets énergétiques.
Pour autant, les lignes directrices étaient tracées, et 3 échéances ont été définies pour les seuils carbone : 2025, 2028 et 2031.
Ils s’appliquent à deux notions[vi]:
- l’indicateur carbone de la construction (IC Construction) mesure les émissions des matériaux et des processus utilisés lors de la construction,
- l’indicateur carbone de l’énergie (IC Energie) concerne l’impact carbone de la consommation énergétique du bâtiment en phase d’exploitation.
En prenant le cas de l’enseignement, nous observons que ces seuils diminuent notablement dans le temps.
Indicateur | Année | Enseignement primaire ou secondaire | Seuil (kg éq. CO₂/m²) | Réduction / 2022 (%) |
---|---|---|---|---|
IC Construction | 2022 | Enseignement primaire ou secondaire | 900 | – |
2025 | 770 | -14% | ||
2028 | 680 | -24% | ||
2031 | 590 | -34% | ||
IC Énergie | 2022 | Enseignement primaire ou secondaire avec réseau de chaleur urbain | 240 | – |
2025 | 200 | -17% | ||
2028 | 140 | -42% | ||
2022 | Enseignement primaire ou secondaire – autres cas | 240 | – | |
2025 | 140 | -42% | ||
2028 | 140 | -42% |
Figure 3 : évolution des seuils carbone pour l’enseignement
Pour les bureaux, la configuration est différente : les seuils de l’IC Construction évoluent nettement à la baisse, mais les exigences de l’IC Energie n’évoluent pas, sauf en 2025 pour les bureaux avec réseau de chaleur urbain (RCU).
Indicateur | Année | Catégorie de bureaux | Seuil (kg éq. CO₂/m²) | Réduction / 2022 (%) |
---|---|---|---|---|
IC Construction | 2022 | Bureaux | 980 | – |
2025 | Bureaux | 810 | -17% | |
2028 | Bureaux | 710 | -28% | |
2031 | Bureaux | 600 | -39% | |
IC Énergie | 2022 | Bureaux avec RCU* | 280 | – |
2025 | Bureaux avec RCU* | 200 | -29% | |
2028 | Bureaux avec RCU* | 200 | -29% | |
2022 | Bureaux – autres cas | 200 | – | |
2025 | Bureaux – autres cas | 200 | 0% | |
2028 | Bureaux – autres cas | 200 | 0% |
Enfin, pour les logements collectifs, l’enjeu carbone à la construction est légèrement moins volontariste que sur le tertiaire, mais l’effort à accomplir sur la consommation d’énergie est très ambitieux.
Indicateur | Année | Catégorie | Seuil (kg CO₂e/m²) | Réduction / 2022 (%) |
---|---|---|---|---|
IC Construction | 2022 | Logements collectifs | 740 | – |
2025 | Logements collectifs | 650 | -12% | |
2028 | Logements collectifs | 580 | -22% | |
2031 | Logements collectifs | 490 | -34% | |
IC Énergie | 2022 | Logements collectifs avec RCU* | 560 | – |
2025 | Logements collectifs avec RCU* | 320 | -43% | |
2028 | Logements collectifs avec RCU* | 260 | -54% | |
2022 | Logements collectifs – autres cas | 560 | – | |
2025 | Logements collectifs – autres cas | 260 | -54% | |
2028 | Logements collectifs – autres cas | 260 | -54% |
Figure 5 : évolution des seuils carbone pour les logements collectifs (RCU =Réseau de Chaleur Urbain), source Legifrance[vii]
Pour résumer, ces objectifs visent :
- Pour la partie matière (IC construction), à suivre l’objectif de décroissance de la Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC), qui vise la neutralité carbone à horizon 2050,
- Pour la partie énergie (IC énergie), à mettre fin aux énergies fossiles dans le bâtiment dès 2025.
IC Construction : l’enjeu de la conception
Dans le cadre de la conception d’un projet neuf, le choix de solutions peu carbonées, comme les brasseurs d’air, apparaît pertinent, pour plusieurs raisons :
- atteinte des objectifs réglementaires RE2020,
- implication du constructeur et du maître d’ouvrage sur les objectifs climatiques,
- dans certains cas, éligibilité à des labels reconnus comme HQE, Bâtiments Durables[viii], BREEAM, LEED… qui valorisent les biens de qualité sur le plan environnemental,
- optimisation économique, car les solutions offrant le meilleur rapport carbone/prix sont toujours recherchées par les opérateurs concernés.[ix]
Au sein de cet enjeu sur la construction, il est à noter que le Samarat vient d’obtenir deux fiches PEP (Profil Environnemental Produit).
Les PEP Ecopassport® concernent les produits d’équipement électrique, électronique et de génie climatique. Ce sont les cartes d’identité environnementale des produits, basées sur les résultats de leur Analyse du Cycle de Vie.
En prenant les mêmes bases de calcul, le Samarat apparaît 80% plus frugal en carbone que la fiche de Déclaration Environnementale par Défaut (DED) des brasseurs d’air établie par le Ministère de l’Ecologie.
Tous les détails sur ces fiches sont accessibles dans l’espace pro, en suivant ce processus :
- Connectez-vous tout d’abord à votre espace pro
- Puis cliquez sur ce lien une fois que vous êtes connecté.
IC Energie : réduire les impacts carbone en exploitation
Calcul de l’IC Energie
Cet indicateur concerne l’impact carbone de la consommation énergétique du bâtiment en phase d’exploitation.
Il est calculé, non sur la base des données d’une fiche PEP ou d’une Déclaration Environnementale par Défaut, mais en fonction de la consommation énergétique du brasseur d’air pendant la saison estivale.
Celle-ci est estimée de manière conventionnelle, en s’appuyant sur les paramètres de saisie de la partie énergétique de la RE2020.

Le moteur de calcul RE2020 détermine dans un premier temps la consommation annuelle en kWh.
Il la convertit ensuite en kg CO2e selon le mix carbone réglementaire ci-dessous.
Type d’énergie par kWh EF PCI | kg équivalent CO₂ par kilowattheure d’énergie finale en PCI |
---|---|
Électricité éclairage tertiaire | 0,064 |
Électricité refroidissement | |
Électricité autres usages | |
Électricité ECS | 0,065 |
Électricité éclairage habitation | 0,069 |
Électricité chauffage | 0,079 |
Pour la partie IC Énergie, les brasseurs d’air sont affectés du coefficient 0,064 kg CO2e/kWhef. On remarque ici que la conversion est basée sur l’énergie finale.
Les brasseurs d’air les plus performants selon cet indicateur IC Energie sont donc ceux qui permettent d’atteindre les objectifs de degrés-heures tout en minimisant la consommation d’énergie.
Dans la pratique, une bonne efficacité énergétique en m3/Wh y contribue, car il s’agit d’obtenir le meilleur ratio entre le débit d’air maximum (m3/h) et la puissance maximale (W).
Pour le Samarat, l’efficacité énergétique est de (11 882 m3/h) / (42,42 W), soit 280 m3/h.
Ainsi, une bonne efficacité énergétique réduit les consommations annuelles et améliore l’indicateur IC Énergie.
Rappelons aussi que les niveaux de débit et de puissance peuvent comporter trois statuts théoriques : « valeur déclarée », « valeur justifiée » ou « valeur certifiée ».
Il n’existe pas à notre connaissance de référentiel de certification de brasseurs d’air. En revanche, certains appareils bénéficient de valeurs justifiées par des essais en laboratoires agréés. Or, ces valeurs justifiées permettent de bénéficier d’un coefficient correctif favorable dans le moteur de calcul RE2020. C’est le cas pour le Samarat.
Limites de la RE2020 sur l’IC Energie
Il est assez habituel d’opposer brasseurs d’air et climatisation.
Or, selon une étude réalisée par l’Université de Berkeley[x], le bénéfice du rafraîchissement hybride (couplage climatisation et brasseurs d’air plafonniers) permet de réduire la consommation d’énergie de 32%, sans compromettre le confort thermique.
Dans la pratique, notamment dans l’existant, cela se traduit bien entendu par un impact carbone proportionnel.
Malheureusement le moteur de calcul RE2020 ne permet pas encore cette valorisation.
Cela faisait d’ailleurs partie des points à améliorer dans la RE2020 que nous avions évoqués dans notre article de mai 2025, intitulé : « Brasseurs d’air et RE2020 : des trous dans la raquette ? »
Il reste néanmoins possible de simuler les gains énergétiques estivaux via une simulation énergétique dynamique, ainsi que nous l’avons expliqué dans notre publication dédiée à la STD.
Le calcul STD permettant de comparer les économies réalisées sur la climatisation (après déduction des consommations spécifiques aux BAP), un ajustement du calcul carbone en phase usage peut être réalisé, même s’il n’a pas de conséquences règlementaires.
Il conviendrait de tenir également compte, dans les locaux où cela est possible, des gains de chauffage en saison hivernale si les brasseurs d’air sont utilisés en basse vitesse en mode déstratification.
Là encore, les économies peuvent être considérables : 3% d’économie d’énergie par mètre de hauteur sous plafond, selon une étude australienne de 2007[xi].
Au même titre que le rafraîchissement hybride, les économies de chauffage liées à la déstratification ne sont pas intégrées dans le calcul RE2020.
Faire les bons arbitrages dans le bâtiment
Le visuel ci-dessous, issu des travaux du hub des prescripteurs bas carbone IFBEP/Carbone 4, représente un échantillon de projets réels du hub[xii].
Il permet de comprendre concrètement le défi carbone sur les différents lots.
Au sommet de chaque histogramme se trouve en noir la valeur cumulée pour les différents lots, et en rouge le seuil IC Construction correspondant.
On remarque que globalement dans le logement collectif, gros œuvre, second œuvre et lots techniques représentent chacun près du tiers de l’impact carbone.

La situation pour les bureaux[xiv] est assez différente. L’impact des lots techniques y est prépondérant, très proche de 50%. Le second œuvre reste de l’ordre de 30%.
Dans le schéma ci-dessous, les valeurs de 2028 et 2031 sont grisées, car elles sont limitées à un seul projet, et donc moins représentatives.

Figure 9 : Poids des différents lots de bureaux en termes d’impact carbone (source IFPEB/Carbone 4)
Le raisonnement au m² est extrêmement pertinent[xv]. En effet, si nous considérons les brasseurs d’air plafonniers, on peut prendre une hypothèse générale d’implantation d’un appareil par tranche de 15 m² de surface, conformément aux règles de la RE2020.
Si l’on prend comme référence pour les brasseurs d’air plafonniers la Déclaration Environnementale par Défaut (DED) du Ministère, celle-ci débouche sur un « poids carbone » de 383 kg CO2e sur 50 ans (en ACV RE2020). Ramené au m², cela représente 383/15, soit 26 kg CO2e/m² [xvi].
Comme on peut le remarquer dans le tableau ci-dessous, pour les logements collectifs, le brasseur d’air qui représente 13% du poids global des lots techniques en 2022 passe à 16% avec le seuil 2028.
Pour les bureaux, si on prend l’hypothèse moyenne du hub des lots techniques, l’impact est un peu moindre (car le poids des lots techniques est plus important) : pour le brasseur d’air, on passe de 7 à 14 % du poids global des lots techniques entre les seuils 2022 et 2031.
Impact carbone des Lots techniques en kg CO₂e/m² (sur les projets du Hub des prescripteurs bas carbone) | Seuil 2022 | Seuil 2025 | Seuil 2028 | Seuil 2031 |
---|---|---|---|---|
Logements collectifs | 203 | 180 | 162 | Non communiqué |
Bureaux | 390 | 332 | 301 | 189 |
Ratio DED Brasseur d’Air (26 kg CO₂e/m²) / Lots techniques | Seuil 2022 | Seuil 2025 | Seuil 2028 | Seuil 2031 |
Logements collectifs | 13% | 14% | 16% | N.S. |
Bureaux | 7% | 8% | 9% | 14% |
Figure 10 : Evolution du poids carbone des lots techniques et de la part relative des brasseurs d’air sur la base de la DED (données IFPEB/Carbone 4)
Les économies de carbone vont donc devoir être recherchées partout pour respecter les nouveaux seuils, et c’est pourquoi le fait de disposer de brasseurs d’air plus performants en carbone que la DED devient un atout majeur.
En cela, les fiches PEP du Samarat changent radicalement la donne côté impact carbone (voir notre lien ci-dessus dans le chapitre consacré à l’IC Construction).
Quelle valorisation pour le kg de carbone ?
Une telle valorisation est très délicate. Néanmoins, nous pouvons estimer les choses sur la base du logement collectif.

Résumons :
- Surcoût carbone au m² = 10% de 2500 €, soit 250 €.
- Evolution des exigences au m² = 740-490 = 250 kg CO2e
Le coût supplémentaire pourrait donc être de 250 € pour 250 kg CO2e qu’il s’agit de gagner Sur cette base, le coût du kg de CO2 est donc précisément de 1 €, soit 1000 € la tonne.
Pour mémoire, nous sommes loin du prix du marché carbone (64 € la tonne en avril 2025[xvii]), sachant que, de son côté, France Stratégie[xvii] considère la valeur de la tonne de CO2 évitée à 256 €.
La RE2020 valorise ainsi beaucoup plus le carbone que les autres mécanismes connus aujourd’hui : quatre fois plus que la valeur de la tonne estimée par France Stratégie et quinze fois plus que le marché actuel.
Dans le bâtiment neuf, l’enjeu apparaît donc considérable.
Les ventilateurs de plafond : un gisement à exploiter pour réduire le CO2 dans les bâtiments
Avec les brasseurs d’air, les concepteurs disposent d’un outil majeur pour améliorer l’impact carbone, aussi bien lors de la phase de production du bâtiment (IC Construction) que pednant la phase d’exploitation (IC Energie).
Il faut y ajouter d’autres avantages non valorisés par la RE2020 : gains hivernaux, gains de mi-saison (démarrage et arrêt de la climatisation décalés) et une partie des gains estivaux liés à ces appareils, tels le couplage avec la climatisation.
Aujourd’hui, le fait de disposer de fiches PEP extrêmement performantes en carbone constitue un atout fort, permettant des arbitrages indispensables à la production de bâtiments performants au plan énergétique et environnemental.
Nous tenons à remercier Guillaume Meunier, Consultant Bas Carbone au sein de l’IFPEB, qui a eu l’amabilité de relire cet article.
[ii] Ce scénario est considéré comme le plus probable à horizon 2050 par le groupe de consultants de Carbone 4, voir ici : https://www.carbone4.com/publication-scenarios-ssp-adaptation
[iii] Source rapport AR6 du GIEC : https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg1/downloads/report/IPCC_AR6_WGI_FAQ_French.pdf
[iv] Pour que notre santé commence à être vraiment atteinte, il faudrait atteindre 20 000 ppm. Nous en sommes donc loin. En revanche, nos capacités cognitives se dégradent avec des taux bien plus bas.
[v] Source : https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC3548274/
[vi] Pour la partie carbone, il y a six indicateurs. Trois imposent des seuils à respecter (Ic énergie, Ic construction et Ic total) et trois autres sont indicatifs.
Les indicateurs informatifs sont les suivants : Ic énergie non renouvelable (précise la part des émissions GES liées uniquement aux énergies non renouvelables), IC construction PCE (émissions de GES liées uniquement aux produits de construction et équipements sans transport ni chantier) et Ic chantier (émission de GES liées aux phases de chantier, incluant transport, engins, etc.).
Notons qu’une part forfaitaire liée au chantier est incluse dans l’IC construction, là où l’IC chantier donne une valeur détaillée, à vocation didactique.
[vii] Pour l’IC énergie et l’IC construction, nous avons pris comme base le décret n° 2024-1258 du 30 décembre 2024 modifiant les exigences de performance énergétique et environnementale des constructions de bâtiment en France métropolitaine https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000050873122 et l’annexe du CCH : https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000045292850
[viii] Nous pensons ici aux labels régionaux portés par des associations reconnues dans le cadre du Collectif des Démarches Bâtiments Durables : Bâtiments Durables Méditerranéens (EnvirobatBDM, PACA), Bâtiments Durables Occitans (Envirobat Occitanie), Bâtiments Durables Franciliens (Ekopolis, IDF), BDNA (Odéys, Nouvelle-Aquitaine), BDBFC (Terragilis, Bourgogne-Franche-Comté), BDB (Batylab, Bretagne)…
[ix] Les solutions bas carbone peuvent d’ailleurs être source d’économies, comme le montre le webinaire « RE2028 : « les leviers gratuits (ou presque) » du Hub des Prescripteurs Bas Carbone.
[x] Accessible en mode connecté. Pensez toujours à vous connecter à votre espace avant de cliquer sur le lien.
[xi] Circulating fans for summer and winter comfort and indoor energy efficiency, Richard Aynsley, voir ici dans l’espace pro (Etude montrant le gain de consommation d’énergie de 7 à 10 % par degré de consigne de climatisation), accessible sur simple inscription.
[xii] La présentation complète peut être téléchargée ici : https://www.ifpeb.fr/re2020-reussir-les-seuils-futurs/
[xiii] Les façades sont intégrées dans le lot second œuvre.
[xiv] La présentation pour les bureaux est en ligne sur le site de l’IFPEB : https://www.ifpeb.fr/accelerer-la-reussite-de-la-re2020-pour-les-bureaux/
[xv] Nous suggérons d’ailleurs vivement aux concepteurs de prendre connaissances des travaux de ce hub, qui sont disponibles à cette adresse : https://www.ifpeb.fr/travaux/le-hub-des-prescripteurs-bas-carbone/
[xvi] Cette valeur peut paraître élevée ; pour être plus juste dans les évaluations, il est recommandé de s’appuyer sur les bonnes pratiques de dimensionnement et de calepinage mentionnées dans notre article en lien : https://www.brasseurs-air-re2020.com/brasseurs-dair-quelles-regles-de-calepinage/
Point très intéressant à noter : pour intégrer la question du confort d’été, une modulation géographique est prévue en RE2020, à hauteur de +30 kg CO2e/m² pour les zones H2d et H3 et <400m d’altitude.
[xvii] Prix au jour le jour du marché carbone : https://fr.investing.com/commodities/carbon-emissions
[xviii] Voir le rapport « La valeur de l’action pour le climat : une référence pour évaluer et agir » https://www.strategie.gouv.fr/publications/la-valeur-de-laction-pour-le-climat-une-reference-pour-evaluer-et-agir